
Patients fictifs.
CRYSVITA a entraîné une amélioration significativement plus importante de la gravité du rachitisme lié à la XLH comparativement au traitement conventionnel à la semaine 40 dans une étude ouverte (scores globaux RGI-C moyens [IC à 95 %] : 1,9 [1,70 à 2,14] c. 0,8 [0,56 à 0,99]; p<0.0001)1,2†‡
Scores globaux RGI-C moyens chez les enfants de 1 à 12 ans1,2§
CRYSVITA (n=29)
Traitement conventionnel (phosphate oral et vitamine D active; n = 32)
D’après la monographie du produit et Imel EA et coll, 20191,2.
À la semaine 64, le score global RGI-C moyen des MC était de +2,1 dans le groupe CRYSVITA et de +1,0 dans le groupe témoin actif (paramètre d’évaluation secondaire)2
Proportion de patients ayant obtenu une guérison importante du rachitisme (définie comme un score RGI-C ≥ +2,0) à la semaine 40 (paramètre d’évaluation secondaire)1,2†§
des patients recevant CRYSVITA
(21/29)
c.
des patients recevant le traitement conventionnel
(phosphate oral et vitamine D active)
(2/32)
Ces résultats se sont maintenus à la semaine 641,2.
Résultats démontrés relativement au score de gravité du rachitisme (RSS)¶ déterminé par Thacher avec CRYSVITA et le traitement conventionnel à la semaine 40 (paramètre d’évaluation secondaire)1,2†
Variation de la moyenne des MC du score RSS déterminé par Thacher entre le départ et la semaine 40
CRYSVITA (n=29)
Traitement conventionnel (phosphate oral et vitamine D active; n = 32)
Les données relativement au score RSS n’ont fait l’objet d’aucun contrôle pour déceler la présence d’une erreur de type I.
D’après Imel EA et coll., 20192. Le score RSS a été calculé à l’aide d’un modèle ANCOVA, utilisant le groupe de traitement et un facteur de stratification de l’âge de référence comme variables indépendantes et le RSS total de référence comme covariable continue.
Les données relativement au score RSS n’ont fait l’objet d’aucun contrôle pour déceler la présence d’une erreur de type I.
Anomalies squelettiques des extrémités inférieures avec CRYSVITA et le traitement conventionnel à la semaine 64 (paramètre d’évaluation secondaire)1,2†
Moyenne des MC du RGI-C dans des radiographies de la jambe longue debout chez des enfants de 1 à 12 ans1,2
CRYSVITA (n=29)
Traitement conventionnel (phosphate oral et vitamine D active; n = 32)
Les anomalies squelettiques des extrémités inférieures ont été évaluées par un RGI-C (adapté pour évaluer les jambes arquées et les genoux cagneux) dans des radiographies de la jambe longue debout1,2.
D’après la monographie du produit et Imel EA, et coll., 20191,2.
Les anomalies squelettiques des extrémités inférieures ont été évaluées par un RGI-C (adapté pour évaluer les jambes arquées et les genoux cagneux) dans des radiographies de la jambe longue debout1,2.
Résultats démontrés de croissance (score Z de la taille) avec CRYSVITA comparativement au traitement conventionnel à la semaine 64 (paramètre d’évaluation secondaire)1,2†
Augmentation du score Z moyen de la taille debout à la semaine 64
CRYSVITA (n=29)
Traitement conventionnel (phosphate oral et vitamine D active; n = 32)
D’après la monographie du produit1.
Résultats démontrés du phosphore sérique avec CRYSVITA comparativement au traitement conventionnel aux semaines 40 et 64 (paramètre d’évaluation secondaire)1,2†
Phosphore sérique chez
les enfants de 1 à 12 ans1,2
CRYSVITA (n=29)
Traitement conventionnel (phosphate oral et vitamine D active; n = 32)
D’après la monographie du produit et Imel EA et coll., 20191,2.
Le traitement par CRYSVITA a entraîné des taux de phosphore sérique moyen qui se situaient dans la plage normale pour les enfants (3,2 à 6,1 mg/dl) lors des évaluations de l’efficacité aux semaines 40 et 641.
Notez que 1 mg/dL équivaut à 0,323 mmol/L3.
ANCOVA = analyse de covariance; ET = erreur type; É.-T. = écart-type; IC = intervalle de confiance; LIN = limite inférieure de la normale; MC = moindres carrés; RGI-C = impression globale de changement observé par radiographie; RSS = score de gravité du rachitisme.
† Étude ouverte de phase III, à répartition aléatoire, contre témoin actif chez 61 enfants (âgés de 1 à 12 ans) atteints de XLH et présentant des signes radiographiques de rachitisme au départ, avec un score RSS de ≥ 2,0 et qui avaient reçu du phosphate par voie orale et des analogues actifs de la vitamine D pour une durée moyenne (É.-T.) de 4 (3,1) ans. Les patients ont été répartis aléatoirement pour recevoir du burosumab par injection sous-cutanée à une dose initiale de 0,8 mg/kg (n = 29) toutes les 2 semaines (le groupe CRYSVITA) ou du phosphate oral (dose recommandée de 20 à 60 mg/kg/jour) et des analogues actifs de la vitamine D (doses recommandées de calcitriol de 20 à 30 ng/kg/jour ou d’alfacalcidol de 40 à 60 ng/kg/jour) (n = 32), comme prescrit par les chercheurs (le groupe de traitement conventionnel). Le phosphate oral et les analogues actifs de la vitamine D ont été interrompus avant l’inscription à l’étude pour une période de sevrage de 7 jours, puis ont été repris pour les patients du groupe de traitement conventionnel. Tous les patients ont terminé au moins 64 semaines de l’étude. Le critère d’évaluation principal était la variation de la gravité du rachitisme à la semaine 40 évaluée par le score global RGI-C1,6.
‡ Les estimations de la moyenne des MC et de l’IC à 95 % pour la semaine 40 proviennent d’un modèle ANCOVA tenant compte du groupe de traitement, du RSS de référence et d’un facteur de stratification de l’âge de référence. Les valeurs p subséquentes sont basées sur cette comparaison entre les groupes de traitement1,6.
§ Le score RGI-C est attribué en fonction de comparaisons en parallèle des radiographies du poignet et du genou à deux moments différents et les scores plus élevés indiquent une amélioration supérieure du rachitisme.
¶ Le score de gravité du rachitisme (RSS), mesuré au départ, à la semaine 40 et à la semaine 64, a été déterminé par Tom Thacher demeuré en aveugle au traitement, à sa durée et à la séquence des radiographies. Le RSS est une mesure validée qui attribue un score total allant de 0 (aucun rachitisme) à 10 (rachitisme grave) sur la base de la somme des scores du poignet (0 à 4) et du genou (0 à 6) les plus gravement touchés.
Références: 1. Monographie de CRYSVITA (injection de burosumab). Kyowa Kirin inc. 15 mars 2023. 2. Imel EA et coll. Burosumab versus continuation of conventional therapy in children with X-linked hypophosphataemia: A randomised, active-controlled, open-label, phase 3 trial. Lancet. 2019;393(10189):2416–2427. 3. ENDMEMO. En ligne: http://www.endmemo.com/medical/unitconvert/Phosphorus.php. Consulté le 3 octobre 2023.